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Savoir Aimer
à la ressemblance de Dieu

A LIRE ABSOLUMENT !
Savoir Aimer
Je suis encore vivant !
Une invitation à partir à la recherche de la vie inaltérable qui est en nous pour l'éternité ...
Je suis encore vivant !
Maman lâche moi ! ...
Les femmes qui ont trouvé leur vraie liberté sont capables de libérer à leur tour ceux qu’elles retenaient captifs !
Maman lâche moi ! ...
Je t'aimerai quand même !
Pour la consolation des personnes qui sont douloureusement confrontées à leur incapacité à vivre l’idéal du couple et de la famille

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Tu n'as plus à craindre le malheur !
Livre témoignage pour permettre de guérir ou d’édifier ceux et celles qui nous entourent
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Anne MERLO

Biographie

Je suis née au Gabon en 1947, où mes parents étaient missionnaires protestants mais j'ai vécu jusqu'à l'âge de quinze ans à Madagascar. J'ai dû retourner en France pour y poursuivre mes études secondaires. Accueillie dans une famille chrétienne à Briançon, j'y ai fait mes études d'infirmière.Pendant cette période (de 1966 à 1968), j'ai découvert le réveil pentecôtiste et ai fait l'expérience bouleversante du baptême du Saint-Esprit avant de partir pour une année en Côte d'Ivoire comme volontaire, puis deux années en France, dans une maison de retraite protestante.J'ai eu le privilège, en 1973 de participer au premier grand rassemblement charismatique dans l'unité des chrétiens, à l'initiative du Pasteur Thomas Roberts, grand apôtre de l'unité à Viviers. C'est là qu'a commencé mon appel à aimer les « catholiques » comme des frères et sœurs en Christ après avoir compris que l'Esprit souffle où il veut.

La famille et la vie communautaire

Dans ce mouvement charismatique, fondé sur l'unité des chrétiens, j'ai rencontré  mon futur mari à Gagnières (dans les Cévennes) lors d'un rallye de jeunes. Médecin et catholique, il avait fait, lui aussi, l'expérience du baptême de l'Esprit-Saint et sa vie en avait été puissamment renouvelée. Nous nous sommes mariés le 4 septembre 1974  dans ce même village, à Gagnières, au cours d'un rassemblement de jeunes, cérémonie de fait œcuménique, célébrée dans l'église catholique, par un pasteur de l’Église Réformée  (ancien missionnaire de Madagascar), et adoptant le rite orthodoxe pour sa partie liturgique et sacramentelle. Très rapidement après notre mariage nous sommes entrés à la Communauté des Béatitudes dont nous avons été membres pendant de nombreuses années. C'est là que j'ai fait la démarche d'entrer dans l'église catholique juste après un séjour de deux ans en Israël, où j'ai renoué avec mes racines juives et avec la primitive église. Nos cinq enfants sont nés alors que nous faisions partie de cette communauté.

Après Israël, nous avons été envoyés en Afrique, où nous avons travaillé pendant cinq ans, à relever un hôpital à l'abandon dans la sous-région de Kabinda au Kasaï oriental (ex-Zaïre, actuellement République Démocratique du Congo). En revenant de cette mission, nous avons commencé à vivre de façon non résidentielle dans la communauté, mon mari ayant repris ses activités au cabinet médical où il exerçait avant notre départ. 

De 1993 à 2001, nous avons tenu une maison d'accueil pour le diocèse de Castres  à Verdalle dans le Tarn, où nous avons pu, en plus des autres accueils, et avec l'aide  de différents intervenants, organiser des camps d'adolescents : 19 camps d'une trentaine de jeunes en l'espace de 8 ans. Ce n'est qu'en novembre 2011 à l'occasion d'une consultation de ses membres suite au renouvellement de ses statuts que nous avons renoncé à notre appartenance à la communauté des Béatitudes où nous ne trouvions plus la dimension œcuménique dans laquelle nous nous étions sentis au départ appelés à travailler à l'unité des Chrétiens. Au cours de ces années, nous avons été confrontés à la mort accidentelle de deux de nos enfants : le petit Étienne mort à l'âge de 17 mois en 1978 et Samuel mort à l'âge de 20 ans en 1996. Ces épisodes douloureux ont été pour moi l'occasion de confronter mes affirmations de foi avec la réalité de la vie et de la mort.

« Nous savons que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. Car ceux qu'il a connu d'avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l'image de son Fils, afin que son Fils soit le premier né entre plusieurs frères. » Romains 8:28

Actuellement

Je vis avec mon mari dans une maison appelée « la Précieuse » dans le Sud de la France. Je continue à servir le Seigneur en voyageant  à travers la France ou à l'étranger pour animer des sessions là où je suis invitée, souvent avec l'aide de mon mari, veillant le plus possible à rester dans l'unité des chrétiens, et ceci envers et contre toutes les difficultés ou écartèlements douloureux qui peuvent être vécus dans cette démarche.